L'île de la Tentation
Le thermomètre n’indique que quelques degrés à peine au dessus du zéro. Le vent vous glace le sang. La pluie vous trempe jusqu’aux os. Il fait nuit dès 16h30. Non, le climat irlandais ne donne pas envie de sortir tous les jours. Mais de boire pour oublier, ça oui !
Il faut faire attention néanmoins et se fixer des règles. Personellement et après une task force entre les 2 hémisphères de mon cerveau je m’en suis donné trois. 1/ pas d’alcool en dehors du vendredi et du samedi (+ une exception dans la semaine si l’événement le nécessite), 2/ pas plus de trois verres dans la soirée (sinon, je me lève à pas d’heure le lendemain) et 3/ que de la bière ou du vin. Voilà donc pour la théorie. C’est beau, c’est propre, c’est carré.
C’est surtout très ambitieux, particulièrement à l’approche de Noël où tout est prétexte à boire. Entre vendredi 7 et samedi 15 par exemple, j’ai participé à 3 « X-Mas Party», 2 soirées d’anniversaires, un dîner et à un pot de départ. Ajoutez à cela mon colloc Gerard qui débouche une bouteille de Cava (une sorte de Champagne made in Cataluna) dimanche midi tout simplement pour célébrer « dimanche » (tout est prétexte à boire ici, je vous l’ai bien dit) et m’oblige à la finir car tu comprends, Sullivan, ça se garde pas. Bah non, t’as raison Gégé, aller re-sert moi ! Pas facile donc d’être sobre en Irlande.
Mais finalement, ce n’est pas très important car si le liquide qui fait rire coule gaiement, il coule néanmoins de manière beaucoup plus responsable que lors des fêtes étudiantes, véritables anti-chambres de l’alcoolisme. Et puis aussi ce n’est pas grave parce que mi-septembre j’ai pris l’habitude d’aller tous les jours faire du sport et que cette bonne habitude permet d’éliminer la quasi-totalité des méfaits du liquide qui fait rire sur mon corps. Le problème c’est que j’ai perdu cette bonne et saine habitude depuis mi-novembre. C’est mal. Je le sais.
Je le vois aussi. Comment ? Tout simplement parce que je deviens gras. Oh rassures-toi lecteur, tu me connais et tu sais que je suis incapable de m’engraisser, plus encore de grossir (ce qui au passage énerve énormément mes collègues qui me voient manger comme un sumo sans prendre le moindre kilo). Néanmoins, de manière quasi imperceptible, je le sens, je suis plus gras qu’avant. En 2008, c’est sûr, c’est décidé, je reprends le sport de manière quotidienne sinon c’est plus Steven et Sullivan qu’on nous appellera avec mon frangin, mais Gros et Gras, et ça je ne peux pas m’y résigner. Maintenant d’ici à 2008…
Il faut faire attention néanmoins et se fixer des règles. Personellement et après une task force entre les 2 hémisphères de mon cerveau je m’en suis donné trois. 1/ pas d’alcool en dehors du vendredi et du samedi (+ une exception dans la semaine si l’événement le nécessite), 2/ pas plus de trois verres dans la soirée (sinon, je me lève à pas d’heure le lendemain) et 3/ que de la bière ou du vin. Voilà donc pour la théorie. C’est beau, c’est propre, c’est carré.
C’est surtout très ambitieux, particulièrement à l’approche de Noël où tout est prétexte à boire. Entre vendredi 7 et samedi 15 par exemple, j’ai participé à 3 « X-Mas Party», 2 soirées d’anniversaires, un dîner et à un pot de départ. Ajoutez à cela mon colloc Gerard qui débouche une bouteille de Cava (une sorte de Champagne made in Cataluna) dimanche midi tout simplement pour célébrer « dimanche » (tout est prétexte à boire ici, je vous l’ai bien dit) et m’oblige à la finir car tu comprends, Sullivan, ça se garde pas. Bah non, t’as raison Gégé, aller re-sert moi ! Pas facile donc d’être sobre en Irlande.
Mais finalement, ce n’est pas très important car si le liquide qui fait rire coule gaiement, il coule néanmoins de manière beaucoup plus responsable que lors des fêtes étudiantes, véritables anti-chambres de l’alcoolisme. Et puis aussi ce n’est pas grave parce que mi-septembre j’ai pris l’habitude d’aller tous les jours faire du sport et que cette bonne habitude permet d’éliminer la quasi-totalité des méfaits du liquide qui fait rire sur mon corps. Le problème c’est que j’ai perdu cette bonne et saine habitude depuis mi-novembre. C’est mal. Je le sais.
Je le vois aussi. Comment ? Tout simplement parce que je deviens gras. Oh rassures-toi lecteur, tu me connais et tu sais que je suis incapable de m’engraisser, plus encore de grossir (ce qui au passage énerve énormément mes collègues qui me voient manger comme un sumo sans prendre le moindre kilo). Néanmoins, de manière quasi imperceptible, je le sens, je suis plus gras qu’avant. En 2008, c’est sûr, c’est décidé, je reprends le sport de manière quotidienne sinon c’est plus Steven et Sullivan qu’on nous appellera avec mon frangin, mais Gros et Gras, et ça je ne peux pas m’y résigner. Maintenant d’ici à 2008…
3 commentaires:
Ne crois pas que ce soit mieux ailleurs... Et puis, c'est quand meme moins grave que si c'etait pire, non?
C'est cense etre nous sur la photo a la fin? Nice.
Ha bah ça fait plaisir de lire ça, on se sent moins seul... Sauf que, pour ma part, le gras pour moi se voit... C'est le principe du bar et du "Je paye ma tournée". Ca n'a pas de fin. Et qd on décide d'y aller, ce n'est jamais pour s'en mettre une derrière la cravate (expression québecoise), mais pour retrouver cette atmosphère et les connaissances qu'on s'y fait.
Et puis, dernière chose, les meilleures cuites sont celles ou avant de partir, on se promettait de se coucher tôt...
quelle marque de cava? freixenet ou codorniu?
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