Wien, Österreich
Jour 10: Jurassic Park
J'adore les animaux. Quand j'étais petit je voulais être véterinaire et aujourd'hui que j'ai grandi et que j'ai raté ma vocation première, je suis un fan des documentaires animaliers. Du coup quand il m'a fallu choisir entre les tableaux (le musée d'histoire de l'art) et les animaux (le musée d'histoires naturelles) j'ai hésité moins d'une demi-seconde ajoutant tout de même pour mieux me défendre que je ne possède de toutes les façons pas les "clefs de lectures" pour apprécier les tableaux. Mon oeil ouais...
Une fois à l'intérieur, j'ai pu admirer tout un tas de bestioles empaillées (migales, scorpions, ...) ou vivantes (grenouilles à poison) que je ne souhaiterais pas vraiment rencontrer en face-a-face dans la forêt mais aussi beaucoup d'autres plus sympathiques (lapins, marmottes, oiseaux en tous genres, poissons, félins, ...) ainsi que ... des dinosaures! Je vous rassure, ceux-la n'étaient pas vivants mais ils n'en étaient pas moins impressionnants.
Avant de vous quitter, voici une petite info intéressante sur les requins que j'ai pu apprendre:
"Less dangerous than coconuts
Grossly exaggerated - the shark threat: Sharks kill 6 people per year - falling coconuts kill 150! Not to mention bees, lightning or even car traffic. More than 80% of all shark species have certainly never killed a human - these species are simply too small."
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Bien: le Burger King, l'entretien type école de commerce que Tristan, Eric et moi avons fait passer à Godefroy, les fajitas à Donauinsel (= sur l'ile au bord du Danube)
Pas bien: le BlingBling Hostel de Krakow qui est plein et qui nous oblige à nous rabattre sur le Momotown
Jour 9: Au milieu des vignes
-Einen Salat, bitte.
Voila que je me mets à sortir quelques mots d'allemand moi. Je me prends presque pour un local. Enfin il faut bien dire que je faisais moins le malin il y a 5 minutes quand la fräuluin du self du heuringer m'a demandé ce que je voulais commander.
Bitte? qu'elle nous a dit à Eric et moi. Tristan était retourné à la table chercher son portefeuille qu'il avait oublié. On s'est regardé et on a fait ce qui nous a semble être la seule chose rationnelle en pareil instant: on a paniqué! On a d'abord voulu faire passer le petit vieux de derrière qui, trop poli, a refusé. A coup de grands gestes, on a fait comprendre qu'on savait pas quoi faire. Heureusement Tristan est arrivé à la rescousse et on pu commander de quoi se substanter.
Une fois de retour à la table, on a pu mieux admirer la vue sur Vienne depuis ce heuringer (petit resto typique au milieu des vignes). Tout bonnement superbe. Le temps est idéal en ce début Mai, on se croirait en été. Le moment est parfait pour passer une soirée entre amis de prépa.
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Bien: le squash même si Eric m'a mis 8-0, mon arbre le cyprès dont les caractéristiques me correspondent tout à fait, la campagne dans Vienne
Pas bien: le "self" du heuringer et ses prix complètement opaques
Jour 8: Die Fredermaus
Ca faisait longtemps que je voulais assister à un opéra alors quand Elisabeth me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté. A Vienne, en plus, c'est le lieu ideal. Par chance l'opérette* preferée d'Elisabeth (Die Fredermaus, La Chauve-Souris) se jouait au VolksOper. Tristan a deja vu l'opérette en question il y a 3 mois mais veut absolument y retourner. Tant mieux. C'est donc à 4 que l'on se rend au VolksOper. Pour à peine 8€ on se déniche des super places.
Le plus impressionnant à l'opéra, ce sont surtout les musiciens. C'est vraiment beau de les voir s'exécuter. Et je ne vous parle même pas du rendu sonore à vous couper le souffle. De plus, moi qui avait peur d'avoir du mal à comprendre l'histoire, j'ai été ravi de la présence de sur-titre en anglais. Y'a pas, ça aide. Par contre, le gros de l'histoire reste en allemand et j'ai été très frustré pendant le 3ème acte.
Tant pis cette expèrience reste quelque chose de fantastique que je recommande à ceux qui auront la chance d'y aller.
* pour les non-connaisseurs: l'opérette c'est plus accessible et plus drôle que l'opéra, ça tient un peu de la comédie musicale en quelque sorte.
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Bien: la balade en vélo dans Vienne, le château de Schönbrunn et ses jardins probablement encore plus jolis que ceux de Versailles, Google qui me donne mon premier CDI, le petit déjeuner préparé par Elisabeth
Pas bien: mon mal de tête au réveil, le prix des transports qui donnent vraiment envie de faire du vélo, mon allemand inexistant qui ne me permet pas de saisir toutes les subtilités de l'opérette ou quoi que ce soit d'autre dans les rues d'ailleurs
J'adore les animaux. Quand j'étais petit je voulais être véterinaire et aujourd'hui que j'ai grandi et que j'ai raté ma vocation première, je suis un fan des documentaires animaliers. Du coup quand il m'a fallu choisir entre les tableaux (le musée d'histoire de l'art) et les animaux (le musée d'histoires naturelles) j'ai hésité moins d'une demi-seconde ajoutant tout de même pour mieux me défendre que je ne possède de toutes les façons pas les "clefs de lectures" pour apprécier les tableaux. Mon oeil ouais...
Une fois à l'intérieur, j'ai pu admirer tout un tas de bestioles empaillées (migales, scorpions, ...) ou vivantes (grenouilles à poison) que je ne souhaiterais pas vraiment rencontrer en face-a-face dans la forêt mais aussi beaucoup d'autres plus sympathiques (lapins, marmottes, oiseaux en tous genres, poissons, félins, ...) ainsi que ... des dinosaures! Je vous rassure, ceux-la n'étaient pas vivants mais ils n'en étaient pas moins impressionnants.
Avant de vous quitter, voici une petite info intéressante sur les requins que j'ai pu apprendre:
"Less dangerous than coconuts
Grossly exaggerated - the shark threat: Sharks kill 6 people per year - falling coconuts kill 150! Not to mention bees, lightning or even car traffic. More than 80% of all shark species have certainly never killed a human - these species are simply too small."
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Bien: le Burger King, l'entretien type école de commerce que Tristan, Eric et moi avons fait passer à Godefroy, les fajitas à Donauinsel (= sur l'ile au bord du Danube)
Pas bien: le BlingBling Hostel de Krakow qui est plein et qui nous oblige à nous rabattre sur le Momotown
Jour 9: Au milieu des vignes
-Einen Salat, bitte.
Voila que je me mets à sortir quelques mots d'allemand moi. Je me prends presque pour un local. Enfin il faut bien dire que je faisais moins le malin il y a 5 minutes quand la fräuluin du self du heuringer m'a demandé ce que je voulais commander.
Bitte? qu'elle nous a dit à Eric et moi. Tristan était retourné à la table chercher son portefeuille qu'il avait oublié. On s'est regardé et on a fait ce qui nous a semble être la seule chose rationnelle en pareil instant: on a paniqué! On a d'abord voulu faire passer le petit vieux de derrière qui, trop poli, a refusé. A coup de grands gestes, on a fait comprendre qu'on savait pas quoi faire. Heureusement Tristan est arrivé à la rescousse et on pu commander de quoi se substanter.
Une fois de retour à la table, on a pu mieux admirer la vue sur Vienne depuis ce heuringer (petit resto typique au milieu des vignes). Tout bonnement superbe. Le temps est idéal en ce début Mai, on se croirait en été. Le moment est parfait pour passer une soirée entre amis de prépa.
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Bien: le squash même si Eric m'a mis 8-0, mon arbre le cyprès dont les caractéristiques me correspondent tout à fait, la campagne dans Vienne
Pas bien: le "self" du heuringer et ses prix complètement opaques
Jour 8: Die Fredermaus
Ca faisait longtemps que je voulais assister à un opéra alors quand Elisabeth me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté. A Vienne, en plus, c'est le lieu ideal. Par chance l'opérette* preferée d'Elisabeth (Die Fredermaus, La Chauve-Souris) se jouait au VolksOper. Tristan a deja vu l'opérette en question il y a 3 mois mais veut absolument y retourner. Tant mieux. C'est donc à 4 que l'on se rend au VolksOper. Pour à peine 8€ on se déniche des super places.
Le plus impressionnant à l'opéra, ce sont surtout les musiciens. C'est vraiment beau de les voir s'exécuter. Et je ne vous parle même pas du rendu sonore à vous couper le souffle. De plus, moi qui avait peur d'avoir du mal à comprendre l'histoire, j'ai été ravi de la présence de sur-titre en anglais. Y'a pas, ça aide. Par contre, le gros de l'histoire reste en allemand et j'ai été très frustré pendant le 3ème acte.
Tant pis cette expèrience reste quelque chose de fantastique que je recommande à ceux qui auront la chance d'y aller.
* pour les non-connaisseurs: l'opérette c'est plus accessible et plus drôle que l'opéra, ça tient un peu de la comédie musicale en quelque sorte.
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Bien: la balade en vélo dans Vienne, le château de Schönbrunn et ses jardins probablement encore plus jolis que ceux de Versailles, Google qui me donne mon premier CDI, le petit déjeuner préparé par Elisabeth
Pas bien: mon mal de tête au réveil, le prix des transports qui donnent vraiment envie de faire du vélo, mon allemand inexistant qui ne me permet pas de saisir toutes les subtilités de l'opérette ou quoi que ce soit d'autre dans les rues d'ailleurs
Jour 7: Sisi
Février 2006, soirée Grand Hall à l'ESSEC
Il doit être pas loin de 2h du matin et je suis seul dans le local d'EDS. J'attends Rémi qui "revient". Je ne fais pas parti de l'assoce et je n'ai donc pas les clefs, je suis donc obligé de garder le local jusqu'au retour de Rémi. Dehors, la fête bat son plein et j'ai envie d'y retourner.
Soudain la porte du local s'ouvre et 4 personnes que je ne connais pas rentrent. C'est qui ces boulets? J'en sais rien mais il faut qu'ils dégagent le plancher et fisa. Ils sont bourrés, et pas qu'un peu, ça va compliquer leur extraction. J'essaye de les inciter à partir gentiment. Ils s'installent. Et mer... J'essaye de les faire se lever. Ils se servent un verre. Rien à faire, ils sont trop nombreux, autant faire connaissance. En plus ils ont l'air sympa mine de rien.
Je découvre que 2 d'entre eux sont canadiens, la troisième américaine et la dernière fille est Autrichienne. Elle s'appelle Elisabeth et s'exprime dans un francais impeccable. On continue de discuter, on échange nos mails et Rémi revient enfin. Il était où celui là? Les 4 étrangers sortent du local (20 bonnes minutes après y avoir mis les pieds pour la première fois).
Mai 2007, Vienne
Devinez un peu chez qui je viens de débarquer avec Eric? Elisabeth!
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Bien: l'accueil royal que nous a réservé Elisabeth, le fou rire à la soirée étudiante, les "knocles" d'Elisabeth, les retrouvailles avec Tristan au "Blau Stern", la visite de la ville
Pas bien: le lever à 6h pour prendre le bus jusque Vienne, mon état (pas frais) après seulement 75cl de bière
3 commentaires:
75 cl de bière... un bon début avant l'Irelande. Ses Stouts, ses Pale ale, ses équivalents (nombreux) de Grimbergen...
Hey sulli !! Alors comme ça t'es sur mes terres ?? à Vienne ?? J'espère que tu t'amuses bien, c'est vraiment une ville géniale !! Faut absolument que tu passes par Graz dans le Sud de l'Autriche, c super sympa ! Je connais du monde la-bas si tu cherche un hébergement dis le moi !
Bon allez je retourne à mes barrils...
See ya
Max
75cl... C'est incroyablement peu mais je suis fier de toi!
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